Exposition L’ART AU TEMPS DU CORONAVIRUS
Inventez, créer et votre réalisation sera exposée virtuellement dans l’écomusée Voltaire de l’API
Exposition virtuelle
L’Association pour le Patrimoine Industriel (API) met continuellement à l’honneur l’ingéniosité humaine portée dans le domaine de l’industriel et de pratiques artistiques dans son espace muséal et d’atelier.
L’impossibilité d’ouvrir les portes de l’API pour un temps encore incertain a fait naître l’envie d’une exposition virtuelle à laquelle vous êtes invité.e.s à participer.
Réalisation 3D, VR : Olivier Journeau, creative director
Sujet
La période de confinement à laquelle nous sommes contraint fait émerger de nouvelles expressions et pratiques artistiques, de nouveaux langages. Quelle-s forme-s prennent votre créativité votre inventivité dans votre quotidien confiné ?
• Photographie,
• vidéo,
• Dessins
• textes
https://www.patrimoineindustriel.ch/2020/03/29/appel-a-projets/
voir exemple : Une vision panoramique d’une partie de l’exposition actuelle avec des métadonnées : https://seekbeak.com/v/GYbjNRkdjA7
l ‘art au temps du coronavirus
L’ART AU TEMPS DU CORONAVIRUS
Association pour le Patrimoine Industriel
www.patrimoineindustriel.ch] Association pour le Patrimoine Industriel La Maison du patrimoine industriel et des arts graphiques Rue du Vuache 25 1201 Genève ecomuseeapi@gmail.com www.patrimoineindustriel.ch
" 20 ans, c’est tout une histoire !" fable contemporaine.
Une conception et un tournage participatifs.
Premières projections : quartier des Promenades de l’Europe, novembre 2012 . projection : du film "20 ans c’est tout une histoire"
Première fiction participative d’une série de SIX, tournés en cinq ans, dans différents pays ( Afrique, Inde, Europe, camp de réfugiés)
thème : "migrants et Ville" ( Global Nomads) Génération Cosmopolite.
Collections de films courts : SIX MINUTES consacrées à une organisation internationale et son rapport à la Ville. UNE ORGANISATION INTERNATIONALE ET LA CITÉ
« LA VILLE DES INTERNATIONAUX » est un film de 6 minutes qui est un pilote, un prototype d’une série sur les Cosmopolites et leur rapport à la Ville d’accueil, Genève en l’occurrence. film consacrée aux "internationaux" et la Ville.
La Ville en l’occurence est Genève. Du numéro 1 à 4 La Ville est Genève. Puis Lyon, New-York et Singapour ou La Havane.
Le premier film réalisé en 2007 est tout particulièrement consacré à des employés du H. C. R . Le haut Commissariat aux Réfugiés.
A travers leur regard , une nouvelle Ville pourrait émerger. Bien sûr, nombre d’internationaux n’ont pas de rapport avec la ville d’accueil, voire une relation néfaste. Et présenter des employés d’une multinationale, imbus de leurs pouvoirs, arrogants serait nécessaire. Mais il existe aussi ces nouveaux citoyens : citoyens du monde et habitants investis localement.
Sédentaires chez lui nulle part ou nomades partout chez lui ? Comment vivent les hommes et les femmes "transnationaux" leur ville d’adoption ? Les internationaux, les « expats », réfugiés, voyageurs avec ou sans bohème, Délogés, volontaires ou pas, tous ont en commun une planète en mouvement.
Le premier film est tout particulièrement consacré au H.C. R .
La partie de leur siège du HCR dessiné par m. BRAILLARD est visible à l’image.
Mais c’est surtout parce qu’il me semble opportun de filmer comment les hommes et les femmes "internationaux" vivent leur ville : Genève.
Par cet axe de vue : TRANSCITOYENS ?
Ou comment
Au fil des films de la collection ,
le statut de "TRANSCITOYENS" devient une réalité
(qu’autrefois on aurait peut-être appelée "Citoyens du Monde")
et comment d’autres « déplacés » (réfugiés de la faim, demandeurs d’asile, et ceux là même dont s’occupe le H.C.R.) peuvent ils bénéficier de ce statut de TRANSCITOYENS ?
Au fil des films, se dessinera un portrait transversal :
celui du Cosmopolite d’aujourd’hui.
Franck NA
Le HCR, l’OMPI, MéDECINS DU MONDE, la CROIX_ROUGE ...elles sont nombreuses à Genève et n’ont pas la même attitude : Quelles sont les relations historiques ? Pourquoi son siège ici ? Les employés : qu’elles relations ont ils avec la ville, avec ses habitants ? Quelles sont leurs bonnes adressses ? Connaissent ils la ville, ses particularités ? Quels sont les clichés ? Sont ils francophones ? Qu’attendent ils d’ici : bibliothèque dans leur langue d’origine ? Quelles sont les lacunes culturelles de leur base résidentielle ? Plus de distractions ? ...Transports ? Logements ? Comment vivent ils la ville dans les décennies à venir ? Paient ils des impôts ici ? Ont ils un rôle à jouer localement ? (en tant que citoyens ?). Ce pourrait être un guide de ville, ville d’adoption, vue par « les pièces rapportées » : leurs bonnes adresses, ce qu’ils aiment, ce qu’ils ne trouvent pas. Les besoins des internationaux sont ils les même que les résidents de souche ? La ville de demain ne devra t elle pas tenir compte de l’avis des Cosmopolites ?
L’urbanisme à l’échelle humaine.
TRANSCITÉ "La VILLE DES INTERNATIONAUX"
Ce n’est donc pas une investigation sur le "terrain ", qui est le sujet cette fois-ci. mais bien faire découvrir
d’une part un aspect quotidien et humain des organisations internationales, et
d’autre part, la ville, celle de tous, à travers des portraits d’employés, eux -même déplacés volontaires. Déplacés culturellement. Et qui pratiquent, chacun à leur façon, une mondialisation.
NA Franck
Le film sur Katrine Camilleri est un bonus. Le prix Nansen est attribué chaque année à une personnalité qui s’est distinguée par son action dans le domaine de l’Asile et du Droit des étrangers. Katrine Camilleri a reçu ce prix en 2007. Bien rares les médias qui en firent état. Avec toute ma considération. NA