Mon quartier au cœur du monde Quinzaine de la participation
Un évènement qui fait le parallèle entre le Forum Mondial Social et un Forum local, d’un quartier de Genève
Les enfants de Dakar s’adressent à des enfants de Genève et de Saint Montan, un petit village de France.
Lettre-video n.:2 :
— une compilation ds meilleurs échanges de lettres-videos est disponible en DVD, durée 26 minutes. 10 E. 15 CHFs
Les tribulations d’une communauté un peu loufoque, qui gravite autour d’une radio imaginaire, dans un lieu isolé, et en assure la survie. La diffusion des ondes ne doit pas s’arrêter. Une relation au monde à la fois permanente par les ondes et décalée dans la vie. Mais, rigolote.
cinéma Avec vue sur la Mer en Ardèche
Par défaut
Premier choix.
Fiction participative Saint Montan Ardèche France
Été 2013. o Par défaut
Démotage ESCA MOT AGE
video Genève 2013
Concept, texte et montage : François Delimoges
Voix et cadre : Franck NA
Noir et blanc durée : 6 minutes
Forum Mondial Social 2011 .
Ils ont choisi de prendre la parole. Ils représentent des minorités obscures, invisibles et pourtant décisives dans la composition de la Société Civile.
NOVOX. La présence sahraouie au FSM de Dakar 2011, ou un réseau dénonçant la fraude fiscale transnationale.
sept premières vidéos, clips à facettes sur les premières rencontres de Cinéma Citoyen
"1ères Rencontres Ciné-Citoyennes" SAMEDI 5 JUIN 2010 à DIEULEFIT DIMANCHE 6 JUIN 2010 à ROYNAC
— une compilation ds meilleurs échanges de lettres-videos d’enfants distants est disponible en DVD, durée 26 minutes. 10 E. 15 CHFs
Stage audiovisuel de quartier à quartier distants. A Genève et ailleurs.
Atelier vidéo pour les 9 à 16 ans
3 jours pour
réaliser un film !
Atelier vidéo pour Jeunes adultes
Atelier vidéo pour habitants .
avec Franck NA, cinéaste
Renseignements : bonjour@mise-a-jour.net Forum Démocratie participative : info@forum1203.ch
Il est trop tôt encore pour tirer une analyse transversale aux cinq fictions participatives que j’ai réalisées, mais on peut affirmer que le genre "fiction participative" revendique une simplicité du langage cinématographique. Sans être tout à fait le niveau zéro de l’écriture, ce sont des films réalisés sans le passage par l’écrit. Le scénario est conçu à l’oral et les plans sont dessinés sur des story-boards sommaires. Nous sommes évidement loin d’un cinéma de divertissement à grand renfort d’effets. L’image est très proche de la prise de vue d’une réalité qui nous est offerte à la hauteur du regard humain. La psychologie est rudimentaire. Et la primauté est donnée à un imaginaire collectif imprégné d’une culture locale spécifique. En cela, ce sont des documents de proximité sur le cadre de vie particulier et sur les préoccupations, les priorités, les comportements propres à la communauté qui fabrique cette histoire et ce film. Il ne s’agit donc pas de films qui auraient de sens volontairement caché, et que le public serait censé deviner. (ce qu’il ne fait jamais vraiment à la sortie d’une séance car l’analyse du contenu serait trop approximative,alambiquée et fastidieuse après une heure et demie de passivité devant l’écran.) Les intentions du cinéma commercial (politique, psychologique, sociologiques, éthiques, etc...) sont devenus des messages abscons, pleins de sous-entendus aussi intelligents que mystérieux mais dont personne n’est vraiment capable de décrypter l’intention et qui restent fumeux car personne ne prend le temps même de creuser la pseudo-signification. Il m’est arriver de demander ce qu’évoquaient Matrix ou la guerre des étoiles . les réponses furent aussi vagues qu’édifiantes de considérations superficielles voire opiacées. C’est pour cela qu’il m’est apparu important de reprendre à la base ce qui fait le cinéma : un art populaire et complet.
A la soi-disant naïveté qui se dégage de chacune de nos fictions participatives, je revendique un sens le plus évident possible. Et là peuvent commencer les commentaires.
La narration et la forme sont construites ensemble ; l’image, les dialogues et la musique marchent du même pas. Le groupe des participants s’approprient le film lors du tournage. Et le tournage est en soi un événement pendant lequel on prend des risques et on est dans la joie , on a un sentiment de liberté et on fait du cinéma."
Franck NA
RENCONTRES CINEMA CITOYEN avec l’avant-première du VIDEOMATON paroles citoyennes Le Participatif au cœur des RENCONTRES CITOYENNES DE DIEULEFIT (FRANCE) programme et 12 films courts sur http://www.darksite.ch/alachaine/spip/spip.php ?article107
Le Participatif, au coeur des Rencontres Citoyennes de Dieulefit (Drôme, France)