API
Association pour le Patrimoine Industriel
Rue du Vuache 25 1201 Genève
Tél 022 340 44 10
L’API a pour vocation le patrimoine industriel et le monde du travail qui lui est lié. L’industrie et le marché du travail connaissent un nouveau bouleversement métabolique : après l’ère numérique et ses rudiments qui ont très vite obligé une refonte de l’imprimerie, pour ne parler que d’elle, le nouveau défi s’appelle A.I. : L’intelligence artificielle en français. l L’API se donc d’observer les corps de métier qui en disparaissant pourraient aussi nous faire perdre des connaissances, des savoir- faire.
Une réflexion qui englobe les laisser pour compte de ces mutations, ceux qui ne parviennent pas à être caméléons. Une réflexion qui n’élague pas le libre-arbitre et les libertés individuelles, et qui ne fait pas abstraction e la création artistique, de l’absurde et de la joie. A.D. API
Association pour le Patrimoine Industriel
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Site indépendant de videos inédites,
www.alachaine.ch fête ses dix ans en 2018 :
www.alachaine.ch c’est quatre millions ( 4 000 000) de visiteurs sur environ quatre cents articles, comportant chacun entre deux et quatres videos exclusives.
www.alachaine.ch fait partie des activités de l’association PALC ( Productions A La Chaine), basée à Genève.
Garantie sans budget marketing.
— une compilation ds meilleurs échanges de lettres-videos d’enfants distants est disponible en DVD, durée 26 minutes. 10 E. 15 CHFs
Stage audiovisuel de quartier à quartier distants. A Genève et ailleurs.
Atelier vidéo pour les 9 à 16 ans
3 jours pour
réaliser un film !
Atelier vidéo pour Jeunes adultes
Atelier vidéo pour habitants .
avec Franck NA, cinéaste
Renseignements : bonjour@mise-a-jour.net Forum Démocratie participative : info@forum1203.ch
Des films courts circuitent.
Des vidéos pour agir sur le monde.
Pour en avoir le cœur net
Solidarité avec la révolution tunisienne et les révolutions arabes
Pour que les mobilisations populaires aient gain de cause ;
Dans l’espoir que les dictatures seront remplacées par la démocratie ;
Pour une victoire des Droits Humains ;
une image dans laquelle se retrouveront peut-être les femmes et les hommes du Maghreb et d’ailleurs qui luttent pour faire valoir leurs présences au monde.
image création Franck NA
Suite à l’appel du Forum Mondial Social
Lettre ouverte (à Hamma HAMMAMI pour la Tunisie) et à tous ceux chargés de concevoir la démocratie dans leur pays
Que ce dernier soit déjà ou récemment libéré, ou encore en voie de libération, ceci se veut une mise en garde contre la facilité qui consisterait à prendre exemple sur les démocraties existantes considérées (à tort) comme les plus avançées.
Les catastrophes en chaine qui affectent le Japon depuis quelques jours, donnent un exemple des cadres démocratiques institutionnels totalement dépassés par des évènements qui pourtant sont connus depuis des siècles ; et dont les équipes dirigeantes "pensaient" avoir pris toutes les dispositions nécessaires et suffisantes pour mettre leurs populations à l’abri des conséquences désastreuses constatées par le passé.
Cette démonstration d’impuissance conjuguée à une incapacité à communiquer l’information adaptée, pour en délivrer une autre qui se veut plus rassurante, mais surtout plus dangereuse à terme, révèle le mal endemique des organisations hiérarchisées dont le pouvoir de décision se situe au plus haut de la pyramide.
Alors qu’une telle situation d’urgence aurait dû permettre une mobilisation générale de toutes les énergies disponibles, en les affectant automatiquement là où elles étaient nécessaires, pour mettre en oeuvre leurs spécificités, on assiste à une mobilisation limitée et classique des opérateurs institutionnels : Secouristes, pompiers, armées.
Une situation exceptionnelle exige une réponse exceptionnelle. Or, ce n’est pas ce à quoi nous assistons. Les populations japonnaises plus ou moins proches des sites de crises qui se sont enchainées (sismique, tsunami, nucléaire) sont gérées à l’image d’un incident conventionnel d’ampleur moyenne. Le chaos qui en résulte commence à mettre en évidence l’incapacité à relancer l’activité économique par la paralysie qui affecte les lieux de production industrielle, et autres. Pendant que les prédateurs de la finance internationale se "repaissent" du malheur d’un pays qui vient de mettre un genou à terre, et que les responsables du G 8 ne daignent même pas lever le petit doigt pour interdire une telle violation de la dignité d’un peuple qui pourtant bénéfiçie de la solidarité émotionnelle de tous les autres peuples.
La troisième puissance économique de la planète, vient d’être assommée par un mauvais coup du sort, qui a pris en défaut les prévisions de ses élites, seules responsables de ce qui vient de se produire et dont les conséquences vont être aggravées par leur incapacité à avoir prévu "l’imprévisible", et les conséquences qui en découlent déjà.
Chercher la chaine des responsabilités ayant abouti à cette situation, prendra du temps, beaucoup trop de temps à une époque ou les moyens modernes de communication ont su montrer leur efficacité à abattre certaines tyrannies.
La priorité et l’urgence est donc bien d’adapter immédiatement les cadres démocratiques actuels aux nouvelles exigences qui commencent à se faire jour.
Les cadres démocratiques conventionnels sont donc dépassés, périmés. A ceux dont c’est le métier, la responsabilité, ou encore à tous ceux qui se sentent concernés et qui ont quelque chose à proposer pour "imaginer" le cadre d’une "bio-démocratie", de bien vouloir agir et libérer leurs paroles pour concevoir ce monde de "demain" dans lequel les peuples sauront se prendre en charge dans les meilleures conditions.
Abattre tous les rapports de force, instaurer une justice de traitement mettant tous les citoyens sur le même pied d’égalité, avec une mise en oeuvre instantanée ; et savoir mobiliser toutes les énergies pour avancer vers un bien-être général, solidaire et partagé, de manière à ne laisser personne sur le bord du chemin. Seule une "bio-économie" permettrait d’envisager avec réalisme un tel objectif amitieux.
En effet, "Il ne s’agit donc pas de substituer un réductionnisme (énergéticien) à un autre (mécaniste), mais - bien au-delà de la seule thermodynamique - de contribuer à définir les bases d’une véritable économie qui ne saurait être qu’une bioéconomie, c’est-à-dire une science transdisciplinaire."...
..."Un seul mot pour dire que la logique de tout système étant le résultat d’un arbitrage entre les forces qui la dominent, ce n’est pas dans le cadre actuel d’une économie dominée par les puissances financières que la question pourra être résolue." (René Passet, Les thermodynamiques du développement)