" 20 ans, c’est tout une histoire !" fable contemporaine.
Une conception et un tournage participatifs.
Premières projections : quartier des Promenades de l’Europe, novembre 2012 . projection : du film "20 ans c’est tout une histoire"
Première fiction participative d’une série de SIX, tournés en cinq ans, dans différents pays ( Afrique, Inde, Europe, camp de réfugiés)
Le Journal d’Assam
premières pages d’ASSAM
journal d’Assam , 2003
document ethnographique ? sur l’artisanat, sur la danse sacrée, sur le bambou. Un regard appuyé qui ne nuit pas l’action,
BrahmaPoutra, le grand fleuve. seul fleuve masculin de l’Inde
l’ile de MAJULI, la plus grande île fluviale du monde, cette île est le fief d’une confrérie religieuse : des moines - danseurs
ASSAM, une grande région de l’Inde hors péninsule.
premières pages d’ASSAM
Un film de Franck NA réalisé lors d’une expédition dont le but fut de faire une étude sur UN JARDIN de la PAIX en ASSAM, associant artisanat local et botanique.
A la suite du Forum Mondial Social de Mumbay en 2003, Dipankar Bania et Niloy deux personnes originaires d’Assam qui apparaissent dans le film "L’Arbre à Livres", me proposent de venir concevoir un projet en Assam. L’idée d’"un jardin défendu" orienta mes pas. Le repérage commença. Pendant ce périple, un journal a été envoyé quotidiennement à un journal qui le publia en partie, et qui fut lu dans le théâtre de Saint Gervais à Genève. premières pages d’ASSAM fut projeté au retour dans ce même théâtre.
VIDEOS : extraits du film ASSAM tourné en 2005 :
FIN générique. Chant miching.
1 Bateaux sur le Brahmaputra. Vache en papier mâché. Passerelle de bambou tressé et filets de pêcheurs. Jeux d’enfants. Chant en classe. Chantier routier. Halte sur la route.
2 Accordeur de tambours (typique de Majuli). Danse et musique BIHU. Temple, choeur et crécelles. Poème de Abdul Dance lu par Philippe Macasdar. Maquillage d’un des acteurs ; Spectacle religieux sur l’ile de Majuli ( équivalent du Mahabarata). Les danseurs et musiciens sont des moines. Passerelle tressée.
3 Passerelle. Poème tiré du Journal de Franck NA édité par LeCourrier de Genève. Chant MISHING sur l’eau. Tissu, Tissage Miching. ( ethnie minoritaire en Assam).
Artisanat : Taille de bambou pour l’aplanir. Poème en voix off de Philippe MACASDAR, enregistré au Théâtre de Saint Gervais à Genève. Trafic sur le fleuve. Architecture sacrée. Sangsue attaquée par fourmis. Le fleuve Brahmaputra. Le passage à niveau, train. Le fleuve
[ pour d’autres images sur ce voyage en Assam : , voir www.mise-a-jour.net (galeries) http://www.mise-a-jour.net/franckna/assamgalerie/assamindex.html [1]. A. D.
Videos extracts of the movie of Franck NA "ASSAM , First pages", 2004 :
Generic END. Singing miching.
1 Boats on the Brahmaputra. Paper mache cow. Braided bamboo walkway and fishing nets. Child games. Singing in class. Road site. Stop on the road.
2 Drum tuner (typical of Majuli). BIHU dance and music. Temple, choir and rattles. Poem of Abdul Dance read by Philippe Macasdar. Makeup of one of the actors ; Religious show on the island of Majuli (equivalent of Mahabarata). Dancers and musicians are monks. Braided footbridge.
3 Gateway. Poem taken from the Journal de Franck NA edited by LeCourrier de Genève. Singing MISHING on the water. Fabric, Miching Weaving. (minority ethnic group in Assam).
Kraft : Bamboo size to flatten it. Voice over poem recorded at the Saint Gervais Theater in Geneva. traffic on the river. Architecture. Leech. The Brahmaputra River. The train.
[1] Musique mouvance n. : 8 LA SATTRIYA, danse reconnue comme tradition de l’Inde, spécifique de MAJULI, cette île de l’Assam. Danse sacrée, réservée aux Moines. Ce sont donc des religieux qui dansent, jouent la musique, incarnent tous les rôles de cette grande fresque qu’est le DRAMA présenté. Depuis plus de 5 siècles, les moines se transmettent ce théâtre comédie, saga des nombreux Dieux, ou drame musical. L’espace scénique est une scène traversant tout l’espace et orienté vers un autel. Les acteurs défilent sur cet axe. Les moines sont actuellement environ 2000, mais la précarité est latente, à la fois économique et environnementale, en raison des crues du fleuve débaroulant la chaine de l’Himalaya..