Cul de sac, voie sans issue, nasse. Ce sont les petites chimères habituelles jetées en pâture pour que l’on se détourne du bon usage de nos existences…
S’il n’est point question d’en distribuer les rôles, de nos existence; nos desseins contiennent que l’on se forge nos propres outils de réflexion collective, dialectique, que l’on pratique une distanciation critique, un arrachement de la praxis maléfique qui règne.
Comment opérer? Se contre-informer déjà. Puis sonner le tocsin et tonner les actes, les expérimentations de la société civile qui fleurit d’utopies concrètes. Rire. Réfléchir et comprendre. Agir et faire. Explorer. Expérimenter. Inventer.
Tant est que le tripalium te conduit quotidiennement à l’humiliation, aux rassemblement forcés, aux usages codifiés et très majoritairement malfaisants, l’on doit se désintoxiquer de la contagion et des réflexes aigres suscités et distribués à desseins, par la doxa.
Rire de ce ridicule, c’est commencer de déboulonner les idoles contemporaines. L’irrespect hérétique peut révéler quelques horizons masqués. Pourquoi pas ensuite en arpenter les possibles…
De la Radio-Libre samedi. De la Bibliothèque du Peuple dimanche. Et pour lundi l’info viendra sous peu.
Allez. Visite ta conscience. Répond à tes désirs. Saisis l’instant.
