La décadanse

TROIS COEURS

Cinélux

'''Poelvoorde-Gainsbourg-Mastroianni''' dans une superbe '''intrigue amoureuse mélancolique!!!'''
Trois Cœurs est un film dont le meilleur - sa noirceur, sa mélancolie - rode dans les coulisses de sa '''mise en scène manifeste'''. Dans cet '''esprit''', au sens fantomatique (Benoît es-tu là ?), le '''final est un coup de théâtre'''. Qui suggère, hypothèse fantasque à entrées multiples, que tout ce qui vient d’être vu n’est peut-être jamais arrivé (définition somme toute ontologique du cinéma). Mais aussi que '''tout se joue dans les limbes d’un intrigant en deçà-par delà''', aux Tuileries où tout a commencé et se clôt. Les Tuileries comme un jardin extraordinaire, comme une chanson de Trenet où flâneraient des enfants terribles...
Synopsis:
Un '''homme tombe amoureux d’une femme''', et réciproquement. Une passion forte devrait en découler. Mais le jeu de l’amour est '''interrompu par un hasard idiot'''. L’homme rate la femme qui disparaît. L’homme part à la recherche de la femme et en '''trouve une autre''' qui ne lui ressemble pas, bien qu’elle soit '''sa sœur'''. Il aime cette nouvelle femme, l’épouse, change de vie. Nous autres, voyeurs du film, vivrons dans le '''suspense que le quiproquo soit révélé''' et dans l’imagination des conséquences...
Signaler une erreur Ajouté par Cinélux le 20 octobre 2014