Plasma
Art place
- 4 rue Pré-Jérome - Plainpalais - Genève
Exposition photographique
Nathalie Berthod
Vernissage le mardi 3 mai dès 18h30
Plasma : 4ème état de la matière
Le plasma est une partie du sang, le sang fait battre le cœur, lui-même siège de nos sentiments. Ces photos donnent envie de parler d’états, elles reflètent des émotions, des paysages intérieurs.
Le travail photographique s'axe autour de la matière éphémère que sont les nuages. 12 photos que l'on pourrait définir comme plastiques, sur lesquelles l'insaisissable semble à portée de main et presque tactile.
Tenter de saisir le contour des choses sans jamais pouvoir l'atteindre, mais essayer sans cesse. C'est de ce contraste que je veux parler, de ce que l’œil perçoit, de ce besoin de chercher des formes, du sens, inlassablement... De ces paysages extérieurs et intérieurs que l’on peut presque toucher et qui pourtant nous échappent...
Des matières donc, réelles, vaporeuses, imaginaires ou inventées, juste des matières.
Ces nuages deviennent parfois des créatures, parfois des ras de marées, des géants, des animaux, des intentions, des gestes, des humeurs…
Ils produisent à nos yeux des tableaux.
C'est la volonté de ce travail, celle de créer un pont entre la photographie qui tend à capturer le réel et le travail de l’imaginaire qui tend, lui, à nous en éloigner.
Nathalie Berthod
Vernissage le mardi 3 mai dès 18h30
Plasma : 4ème état de la matière
Le plasma est une partie du sang, le sang fait battre le cœur, lui-même siège de nos sentiments. Ces photos donnent envie de parler d’états, elles reflètent des émotions, des paysages intérieurs.
Le travail photographique s'axe autour de la matière éphémère que sont les nuages. 12 photos que l'on pourrait définir comme plastiques, sur lesquelles l'insaisissable semble à portée de main et presque tactile.
Tenter de saisir le contour des choses sans jamais pouvoir l'atteindre, mais essayer sans cesse. C'est de ce contraste que je veux parler, de ce que l’œil perçoit, de ce besoin de chercher des formes, du sens, inlassablement... De ces paysages extérieurs et intérieurs que l’on peut presque toucher et qui pourtant nous échappent...
Des matières donc, réelles, vaporeuses, imaginaires ou inventées, juste des matières.
Ces nuages deviennent parfois des créatures, parfois des ras de marées, des géants, des animaux, des intentions, des gestes, des humeurs…
Ils produisent à nos yeux des tableaux.
C'est la volonté de ce travail, celle de créer un pont entre la photographie qui tend à capturer le réel et le travail de l’imaginaire qui tend, lui, à nous en éloigner.
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par nathberthod le 14 avril 2016