Le groupe
The Lost
People, dit-on, fait du rock chamanique. Nous préférons l'appellation
Dust rock ou pour ne rien y comprendre Deutsch Touch.
Formé d'un guitariste-chanteur, d'un bassiste, d'un batteur et d'une
altiste-chanteuse-blablabla, The Lost People défriche le rock depuis
2003 dans un esprit résolument folk .
A son actif, une bonne quinzaines de compositions personnelles passant
du très bruyant mélodique à la ballade à deux accords quelque peu
bizarre.
Les musiciens
Ancien musicien : Marc
(2003-2006)
Henrick
Entend
un jour Jimi Hendrix et John Bonham (Led Zeppelin), échange son
vélomoteur contre une guitare, puis une batterie. Chante avec
The Pervers (GE) joue avec The Acte and the Dance (GE) , Les Merdes
(GE) (rien que du mythique) et joue de la guitare en chantant
pour ses copines et les voisins. Rencontre les trois membres du
groupe, joue et parle. Ami des végétaux, rêve de squatter la forêt,
d'abolir l'argent, appartient au peuple perdu.
Ecoute
:
Olivier Messian, Léo Ferré, Lou Reed, The Gun Club, Blurt, Devendra
Banhart, Joanna Newsom
Regarde : Aguirre (Werner Herzog), Truffaut,
Pasolini, Jarmush, Cassavetes…
Lis : Ecuador (Henri Michaux), Bukowski, Nicolas
Bouvier, Récits de Matthieu Mestokosho, chasseur innu (Serge
Bouchard), Ermites de la Taïga (Vassili Peskov)
Matthias
dit Mats
Amateur de livres, BDs, films, musiques, proprement dit
tout ce qui concerne la culture. L’ancien libraire et actuel
bibliothécaire, organisateur occasionnel de concerts ne
pourrait vivre sans musique. Pour supporter les dures répétitions
de « The Lost People » il se retire dans sa «
cave » remplie de « culture ». L’Argovien
a joué dans « Soul Paver » (AG), « Redrum
» (ZG) et « Dirty Little Secret » (ex-No fence,
GE).
Ecoute
:
Swell, P.J. Harvey, Nada Surf, The Charlatans, MLE Smiles, The
Delgados, The Playboys
Regarde : Dead Poets Society, La strategie de
l`escargot, Luna Papa, Lost in Translation, Eternal sunshine of
the spotless mind
Lis : Le cahier bleu (André Juillard),
Kabuki (David Mack), Sternennächte (Ulf K), Sasmira (Vicomte),
La maravilla (Alfredo Véa)
Carole
Il
faut bien commencer quelque part. Pour Carole, ce fut un concert
de Jean-Jacques Goldman qui lui fit piger un truc : la musique
prendrait beaucoup de place dans sa vie. Elle ingurgite alors
des montagnes de disques, découvre vite qu'elle trouve
JJG un peu "mouais", joue de l'alto dans un premier
groupe (Dirty Little Secret, GE) avant de faire ce qu'elle veut
avec The Lost People. Elle a également eu l'occasion de
tourner en Europe avec "In Gowan Ring" (USA) en printemps
2006. Sinon, pour gagner sa croûte, elle est assistante
d'enseignement en information documentaire et squatte les ondes
de Radiocité avec quelques chroniques musicales et bédéistes.
Ecoute
:
Lou Reed, Cat Power, Will Oldham, The National, Antony, In Gowan
Ring, A Silver Mt Zion, Arvo Pärt
Regarde : Gerry (Gus Van Sant), Apocalypse Now
(Francis Ford Coppola), Mulholland Drive (David Lynch)
Lis : La maison des feuilles (Mark Z. Danielewski),
Les raisins de la colère (John Steinbeck), High Fidelity
(Nick Hornby), Jimmy Corrigan (Chris Ware), Les pillules bleues
(Frederic Peeters)
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