Lorsque l’on construit un présent mieux. Qu’on le projette dans nos demains meilleurs. C’est que l’on s’extrait de toute posture attentiste. Que l’on détourne l’attention des trépas quotidiens de la conscience et des fulgurances nocives et pour le moins frauduleuse des petits chefaillons autoproclamés.
Il en est des cohortes céans. Des officines qui agitent leurs pantins et leurs croque-mitaines. Rien ne nous est épargné des mots dits et des démos. Il y a l’erreur. Puis le naufrage. Et ensuite nos coupables et assassins aplombs face à la détresse.
Genève, ville sociale et solidaire n’a pas enterré que des requérantEs. Genève s’exonère par tous les moyens des responsabilités implacables qui, un jour lui seront assénées en retour. Lorsque des politiques s’effacent derrière des communiqués produit à dessein de ne rien dire. Que les mandats sont télécommandés par des intérêts bourgeois. Que l’on gesticule des courroux frelatés au titre d’atermoiements viciés et calculés.
Alors c’est à la société civile de prendre les compas, les mesures, les pelles et les fourches. Le narcissisme mégalomaniaque a cela de bon qu’il s’étiole lorsqu’on détourne nos regards. Alors quitte la matrice et rejoins tes pairs. Ici l’on brise la domination à coup d’Utopies Concrètes. Ici l’on fabrique nos outils opérationnels. Ici l’on porte les premiers coups de mortier qui façonnent nos mondes nouveaux. Ici aucun porteur d’autorité n’est autorisé.
Ici c’est chez toi.
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